Sébastien Castellion et Guillaume Farel

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Parmi les réformateurs protestants du XVIe siècle, Guillaume Farel – disparu voici 450 ans – est un combattant de la première heure, indéfectible partisan de la nouvelle foi. Plus libéral, Sébastien Castellion, dont on célèbre les 500 ans, conteste les … Continuer la lecture

Salut extrinsèque et salut intrinsèque chez Georg Simmel : une tension constitutive pour le protestantisme libéral

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Article issu d’une contribution au colloque international « Sources du protestantisme libéral », ayant eu lieu du 15 au 17 avril 2010 au Centre universitaire protestant, à Genève. Voir l’article publié le 15 juin 2016 dans la revue électronique ThéoRèmes. Résumé de l’article … Continuer la lecture

Le protestantisme et l’argent

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Prétendre que la religion est une affaire d’argent est réducteur. La foi, le pardon, l’espérance du salut, ne sont pas des affaires financières. Pourtant, à chaque époque, les liens entre la piété et l’économie sont très intenses. La mentalité religieuse … Continuer la lecture

Jean Calvin (1509-1564), un réformateur contesté

Jean Calvin, réformateur protestant de la deuxième génération, provient de l’école humaniste parisienne. Son projet réformateur va ainsi se développer en un véritable projet de société, éminemment moderne. En articulant subtilement la grâce du salut et l’exigence éthique, l’austérité et la prospérité, sa théologie a suscité de nombreuses questions, parfois très critiques. Nous présenterons une vision d’ensemble de sa vie, de sa pensée et de son impact.

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Conférence donnée dans le cadre de l’Université populaire jurassienne le 5 novembre 2009 à Moutier.

Un Dieu bon peut-il permettre le mal ?

Si l’on suppose que Dieu savait, en créant l’homme libre, que ce dernier allait transgresser ses commandements et livrer le monde au mal, on peut se demander pourquoi Dieu a crée le monde, étant donné qu’il savait que le mal allait y régner. Dieu serait-il responsable du mal ? Selon le philosophe Leibniz (1646-1716), Dieu a estimé qu’il était préférable de créer un monde de pécheurs plutôt que rien, parce qu’au travers du péché, Dieu allait pouvoir manifester l’amour infini de sa grâce. Leibniz suppose donc que c’est pour le Christ, joyau de la grâce divine, et non pour la nature déchue, que le monde a été crée. Nous discuterons ces questions après avoir présenté un résumé de la thèse de Leibniz.

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Conférence donnée le 10 septembre 2009 à la paroisse réformée de Delémont.